Il est venu
Il a vu, il a vaincu. Ca, pour avoir vaincu il a vaincu ...
Il est venu hier, dans ma chambre. Il est venu hier dans ma tete. Il est venu il y a 4 ans dans ma vie. Il est venu il y a 4 mois dans mon lycée. Il est venu et m'a brisé. Il a brisé sa maison, son antre, là ou était sa place depuis des années deja. Là ou il avait niché une confiance, une vie, une pensée et surtout un amour. Il a saccagé ce champs de bataille. Il l'a piétiné ce tableau, cette oeuvre a peine achevée. Il l'a dechirée, brulée, arrachée, explosée. Il l'a tué. Et moi aussi. Il m'a tué.
Il est venu. Il a vu. Il est reparti.
Il est venu depuis des années tout les soirs. Il m'a suivi dans toutes mes pensées. Il l'a suivi aussi. Ils ont vecu. Ils vivent. Ils vivront.
Il est venu. Il ne viendra plus.
Elle peut l'attendre, la morte, la mariée, la dechue. Elle peut partir, l'échouée, l'immergée, la dechue. Elle peut esperer la folle, la poetesse, la dechue.
Il est venu. Il ne viendra plus.
Juste des pensées de morte, des reves de mariée, des fantasmes d'échouée, des vues d'immergées, des espoirs de folle, des vers de poetesse. Des ailes de dechues.
Il est venu. Il est reparti.
Dans un silence froid il s'est retourné. Dans un regard noir il l'a vu pleurer. Dans une pensée sombre il l'a vu tomber. Dans une mouvement lent il est parti. Seul. Seule.
Il est venu. Il a vu. Il a vaincu. Il ne viendra plus. Il ne verra plus. Il n'y aura plus rien a vaincre.
Seule dans la lande. Seule dans sa chambre. Seule dans les méandres de ces pensées obscures ou il vint.
Il est venu hier, dans ma chambre. Il est venu hier dans ma tete. Il est venu il y a 4 ans dans ma vie. Il est venu il y a 4 mois dans mon lycée. Il est venu et m'a brisé. Il a brisé sa maison, son antre, là ou était sa place depuis des années deja. Là ou il avait niché une confiance, une vie, une pensée et surtout un amour. Il a saccagé ce champs de bataille. Il l'a piétiné ce tableau, cette oeuvre a peine achevée. Il l'a dechirée, brulée, arrachée, explosée. Il l'a tué. Et moi aussi. Il m'a tué.
Il est venu. Il a vu. Il est reparti.
Il est venu depuis des années tout les soirs. Il m'a suivi dans toutes mes pensées. Il l'a suivi aussi. Ils ont vecu. Ils vivent. Ils vivront.
Il est venu. Il ne viendra plus.
Elle peut l'attendre, la morte, la mariée, la dechue. Elle peut partir, l'échouée, l'immergée, la dechue. Elle peut esperer la folle, la poetesse, la dechue.
Il est venu. Il ne viendra plus.
Juste des pensées de morte, des reves de mariée, des fantasmes d'échouée, des vues d'immergées, des espoirs de folle, des vers de poetesse. Des ailes de dechues.
Il est venu. Il est reparti.
Dans un silence froid il s'est retourné. Dans un regard noir il l'a vu pleurer. Dans une pensée sombre il l'a vu tomber. Dans une mouvement lent il est parti. Seul. Seule.
Il est venu. Il a vu. Il a vaincu. Il ne viendra plus. Il ne verra plus. Il n'y aura plus rien a vaincre.
Seule dans la lande. Seule dans sa chambre. Seule dans les méandres de ces pensées obscures ou il vint.